Avec l’évolution constante des offres commerciales, de nouveaux modes de distribution envahissent le marché. Les enseignes cherchent à se développer de toutes les façons et tendent à choisir des moyens innovants et efficaces. Parmi ces nouvelles tendances se trouve le court-circuit. Il s’agit d’une technique de plus en plus prisée par les entreprises pour améliorer leur performance et développer leur part de marché. Trouvez dans cet article l’essentiel du court circuit.
Court-circuit, un mode de commercialisation dans le temps
Le court-circuit est un système connu il y a des décennies. En effet, il date des années 90 et conquit le marché avec les différentes crises alimentaires comme la vache folle en 1996. Le ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt définit le court-circuit comme un moyen de commercialiser des produits agricoles. Il peut se présenter sous de nombreux façons, à savoir la vente directe faite par le producteur au consommateur ou encore la vente indirecte. Dans ce cas, il doit y avoir uniquement un intermédiaire entre le consommateur et l’exploitant. De nos jours, de plus en plus de producteurs utilisent le court-circuit comme moyen de vente soit environ 25% des exploitants. De plus, sur le marché français, les consommateurs ont une préférence pour les produits locaux qui assurent une bonne qualité, notamment une notion de traçabilité et une garantie de sécurité alimentaire.
Court-circuit, une structure développable
De nombreux enseignent se lancent aujourd’hui dans le coopératif. En tant que franchise, il importe d’étendre son réseau en exploitant les perspectives positives du marché. En outre, le distributeur fait face à une demande de plus en plus dynamique qui complémente le schéma alimentaire classique. De ce fait, le court-circuit est une forme de consommation tout à fait logique qui répond à la demande des consommateurs.