Le choix du modèle de la franchise reste jusqu’aujourd’hui un point qui fait hésiter de nombreux responsables d’enseignes. Si la cohabitation de plusieurs systèmes formant des réseaux se fait de plus en plus, d’autres concepts commencent également à voir le jour outre la concession et la commission-affiliation. Toutefois, ce qui reste commune au Code de déontologie européen est que le rôle de protection de la marque revient à la tête de réseau. Ce dernier doit garantir également cette stabilité sur le plan juridique à ses membres. En France, cette loi s’explique par la mention du nom, du logo ou encore des signes distinctifs à l’Institut de la Propreté Industrielle.
Les systèmes parallèles
La tête de réseau s’assure de fournir à ses membres le savoir-faire nécessaire pour permettre au franchisé d’évoluer. Outre le savoir-faire, le franchisé doit bénéficier d’une assistance en permanence pour améliorer ses performances. La franchise se voit tout même doublée par l’émergence de nouveaux systèmes comme le coopératifs ou encore d’autres formes de groupements et de commerce associé. Toutefois, la motivation reste bel et bien différente que ce soit au niveau des fondateurs mais également par rapport aux responsables des marques. La franchise reste jusqu’à maintenant le système le mieux structuré et réglementé.
Pour un choix judicieux
Beaucoup sont les enseignes qui ne font pas le bon choix dès le départ. Au bout du compte, ils préfèrent changer leur groupement en franchise. La transformation est toujours possible. Le souci provient des membres qui se sont habitués au cadre précédent. Le concept de la franchise reste cependant le plus protecteur que ce soit pour l’une ou pour l’autre. Aussi exigeant qu’il puisse être, le cadre de la franchise présente de grands avantages aux parties contractantes. Il existe des obligations que les deux parties doivent respecter. Ce qui pousse souvent les candidats à fuir le système.